Arkenge, où la ressurection d'un meurtier.

[Hrp/] Écris par Arkenge, Xellior, et Celiea, qui sont les trois même personnes. Je vous remercie d'éviter le copier-coller sans même cité l'auteur, merci.


Ce texte tourne autour de l'univers de Dofus, avec des passage heureux, et d'autres un peu moins.

Je considère que tous le monde connait la restriction en vigueur sur ce jeu/site qui est 12+, je prend donc deux-trois libertés et certains passage peuvent choquer les plus jeunes, même si avec la télé aujourd'hui, je prend pas trop de risque...

J'ai refait le premier chapitre, car il est vrai qu'il ne donnait pas trop envie de lire la suite, maintenant, c'est un peu mieux, enfin, c'est à vous de juger...

Ce texte peut être lut par tout le monde: [Hrp/]


Premier tome de la trilogie:

Sacrilège:



?

Obscurité, lumière, est-on forcement bon ou mauvais ? Tout blanc, ou tout noir ? Et ceux qui sont blanc en apparence et qui cachent au fond de leur être, la noirceur des ténèbres… L’inversement à déjà été vue…
Dans cette histoire, on trouve un peu de tout sa. Le monde devient fou, tout se renverse… On ne peut faire confiance à personne… Pas même en soi.

C’est ce que va découvrir brutalement un xelor, du nom d’Arkenge, 11 ans au début de l’histoire, fils d’un xelor sage, qui réfléchissait toujours avant d’agir, et d’une iop, qui était son opposé total.
Il ne voyait pas souvent ses parents, toujours à droite et à gauche, en voyage. En faite, il se rendit compte que la seule personne qu’il connaissait était sa sœur, son ainée, Neya, une iop qu’il admirait et avec qui il passait beaucoup de temps, sur les plages et les baraquements de Sufokia.

Un jour, que ses parents étaient la.
Il était allongé sur son lit, à regarder la lune dans le ciel noir. Il était tard, mais avec cette chaleur, il n’arrivait pas à dormir. Il réfléchissait au moyen d’être plus souvent avec ses parents, les entendant discuter fébrilement et rapidement. Il ne saisissait que quelqu’un mots, comme puissance, fuite, ca n’avait aucun sens pour lui.
Il commença à s’endormir, bercer par ce bruit sonore, quand il entendit quelqu’un frappé à la porte.
Une visite, à cette heure la ? C’était fort inhabituel, surtout à Sufokia. Il n’entendit plus rien au rez-de-chaussée, ses parents s’étant tus. Alors les coups redoublèrent de violence, et il entendit des ordres, prononcés haut et fort, mais ne les compris pas.
Il entendit des bruits de pas précipités dans le couloir et se redressa sur son lit. La porte s’ouvrit, dévoilant le visage de sa sœur, qui le prit par la main, et l’entraina en courant dans le couloir.
Il entendit alors la porte d’entrée se faire fracasser, et sa mère hurler. Il passa au dessus de l’escalier et jeta un coup d’œil. Il vit sa mère se jeter sur des hommes en noirs, son père derrière elle, mettant le feu à des documents. Alors il vit sa mère se faire transpercer la gorge par une flèche, tomber sur le sol, et ne plus bouger.
Il n’eut pas le temps de réagir car sa sœur le tira vers le toit, ou ils montèrent. Alors elle le poussa dans l’eau, et sauta derrière lui. Il sortit la tête de l’eau gelée, et regarda sa maison prendre feu dans la nuit, telle une torche. Sa sœur arriva avec une barque, le prit, et ils s’éloignèrent dans la nuit.


Il se réveilla en sueur, dans son lit de paille. Il chassa de la main la pellicule de sueur sur son front, avant de regarder par la fenêtre. Le soleil brulait déjà dans le ciel, des palmifleurs se laissaient aller et des crustorails se battaient avec leurs pinces.
Alors il se leva, s’habilla, et rejoins la cuisine.
Cinq ans… Cinq ans, et toujours ce cauchemar, de cette nuit fatidique où tout avait changé. Cinq ans passé à fuir avec sa sœur a travers le monde des douzes, de Sufokia, à Asturb, de Tanelia à L’ile de Moon, avant d’atterrir ici, sur l’ile d’Otomaï.
Neya était la, dans la cuisine, à préparer à manger.
« -C’est qui qui fêtes ses 16 ans aujourd’hui ?
-Ah, oui, j’avais oublié » dit-il en se frottant les yeux.
« -Tiens, va me chercher de la viande, tu prends ce qu’il te plait, mais ne chasse pas plus que nécessaire. Tu rentre avant la nuit.»

Il sortit, et s’étira, sentant le soleil et le vent maritime sur lui.
Il partit en petite foulée en direction de la plaine… C’était un bon jour.

Après avoir passé l’après-midi à chasser, il revient en direction de la maison, avec un kilo de viande sur l’épaule.
Alors il vit de la fumée… Qui s’élevait de la maison… Non !
Il lâcha la viande et courut en direction de la fumée.
Elle s’enroulait dans les airs, formant des spirales… comme cette nuit la.

La suite est pour ce soir, j'ai tout écris à la main en classe ( ouaiche, vive les 2 heures de philo)
Bref, que les impatient cesse de trépigner.

Il courut vers la maison, comme un fou. Il n’était peut-être pas trop tard, il avait peut-être encore une chance de la sauver, ou même juste de l’aider.
Il sentait la plaine défiler sous ses pieds, tandis qu’il courait vers la maison. Mais plus il courait, moins il avait l’impression d’avancer et voir que la maison ne se rapprochait pas malgré tout ses efforts était rageant.
Il serra les dents, et se retrouva finalement sur le pas de la porte. Il tentait de reprendre son souffle, les mains sur les genoux, coupé en deux par l’effort.
La porte pendait sinistrement sur ses gonds, et un vent léger la faisait grincer. On n’entendait plus que le crépitement léger des dernières flammes, dont la fumée s’élevait dans les airs, telles des spirales, que le vent effaçait.

Il rentra prudemment dans la bâtisse. Toute la maison avait été retourné, plus rien ne tenait debout, toutes les pièces avait été saccagées. Les meubles retournés, fracasser. On reconnaissait le travail de différentes armes comme une hache ou une épée.
Il y avait eu une lutte acharnée ici, et Neya était seule quand c’était arrivé.
-Neya!! Ou es-tu Neya? Répond-moi!!
Il cria le nom de sa sœur, en fouillant la maison, explorant chaque pièces avec l’espoir de la voir surgir, un sourie aux lèvres, victorieuse. La cuisine avait complètement brulée, et il restait des flammes, auxquelles il n’accorda aucunes importances. Les deux chambres étaient encore à peu près intactes.

Il déboula dans le salon, et la, il la vit, sur le tapis, allongée de tout son long, au milieu des débris de meubles et d’une poussière très importante. Il manquait des morceaux de mur et de plafond. Elle avait les deux mains sur la poitrine et ne bougeait plus. Une fleur de sang s'étalant autour d'elle, sur le tapis et sur le parquet, dégageant une odeur écœurante, donnant à la scène un coté hideux.
-NON!! Neya!! Non... cria-t-il en courant vers elle.
Il se laissa tomber sur les genoux et la prit dans ses bras. Il la secoua doucement, tentant de chercher les battements de son cœur en collant son oreille sur sa poitrine, mais il ne trouva rien. Des larmes coulèrent le long de ses joues. Il la serra contre lui, il ne s'était plus le battement de son cœur, la chaleur de son corps.
Ses longs cheveux noirs tombaient sur son visage pale et froid, ses grands yeux bleu ouvert, fixant le plafond, dans une expression de douleur et d'effrois, mais aussi avec une infinie détresse. Chacun de ses membres était crispée et raides.
La position de son corps et son état ne laissait aucun doute sur ce que lui avait fais subir les assassins avant d'en finir, et que les dieux, pour permettre une telle chose, n'avait aucune humanité...
Il lui caressa la joue tendrement en murmurant son nom, se balançant doucement. Il voulait tellement la revoir bouger, danser, combattre, vivre !
Pourquoi elle, pourquoi était-il encore en vie ? Elle aurait put survivre, ne pas avoir à affronter une telle épreuve.

Il vit alors le coquillage qu'ils avaient ramassé sur une des berges de Sufokia et dans lequel ils aimaient entendre la mer chanter. Il était fêlé à un endroit et cassé sur un coté. Brisé comme sa vie l’avait été.
Il le colla à son oreille et se rappela tout ses souvenirs avec elle, ses 5 années à fuir, le son de sa voie, les moments de joie, de peur, et les larmes coulèrent lentement de ses yeux. Cinq ans… Ils avaient tenus cinq ans, et voila ou il en était maintenant. Pourquoi ici ? Pourquoi maintenant ? Ils étaient sur d’être en sécurité sur cette île au milieu de nulle part, une tranquillité parfaite. Trop parfaite. Leur insouciance avait causé la mort de Neya. Mais comment aurait-ils put savoir ? Comment auraient-ils put savoir que des assassins fou et prêt à tout les poursuivrais jusqu’au bout du monde ? Et surtout, pourquoi ? Pourquoi tant de haine envers ses proches, sa famille. Cette haine allait-elle le mettre en danger lui aussi ? Alors il eut envie de hurler. De jeter à la face du monde sa haine, son désespoir. Un long cri qui brisa le silence de l’ile, les oiseaux s’envolant de peur dans le soleil couchant.
Il était fatigué… Si fatigué…

Il prit la main de sa sœur et vit la blessure qu’elle cachait. Un trou, au dessus de la poitrine, un trou, de la taille d'une épée...
Elle n'était pas morte sur le coup, non, elle avait eu le temps d'agoniser, seule sur ce tapis, à se vider de son sang, et à prier pour qu'il revienne a temps, qu'elle survive, qu'il la sauve.
Mais il n'était pas rentré, et elle mourut dans un soupir de désespoir.
Pourquoi, pourquoi était-il partit aussi longtemps ? La situation aurait-elle était différente si il avait été la ? Aurait-il pu la sauver ?

Toute sa vie avait été détruite. Après ses parents, sa sœur. Peut-il avoir une vie tranquille ? Peut-il espérer un futur meilleur maintenant ? Ou plus simplement, à quand son tour ? Devait-il attendre sagement que des assassins viennent le tuer, comme la nuit de sa fuite, ou bien comme aujourd’hui ?
Une chose était sur, il n’avait plus rien à perdre.

A croire que tout était contre lui, et que les dieux avait décidés de jouer à un jeu cruel avec lui. Mais il ne rentrera pas dans leurs règles. Non, il était hors de question d’attendre la mort. C’est lui qui allait la chercher, dans son terrier. Et il allait la terrasser et apporter la vengeance à sa famille.


Car maintenant, il n’avait plus rien à perdre. Peu importe ou sa le mènera, il était près a tout pour combler se trou qui s’était creusé en lui.
Document, il ne pensa plus à rien, serrant contre lui el cadavre de Neya. Plus rien. Il ferma les yeux et se laissa porter par le bruit des vagues au loin.
Les dieux payeront pour ça.

Écris sur un fond de Paramore, Muse.


....Il prit le corps maintenant froid de sa sœur et l'emmena ua pied de l'Arbre Hakam où il l'enterra et resta la plusieurs heures.

Il rentra alors a la maison, a la recherche d'indices, qu'avait put laissés les tueurs.
Après avoir fouillé partout et retrouvé la deuxième chaussette qu'il avait perdus il y a 3 semaines, il mit la mains sur une bague, avec le doigt... Neya c'était bien défendus.

Cet anneau était frappé du sceau qu'il ne connaissait pas. Otomai, avait peut-être la réponse sur ce signe. Il décida alors de le rejoindre.

Arriver au pied de la Jungle obscure, il entendit un appel a l'aide:
"-Au secours, quelqu'un, n'importe quoi..."

Il vit alors un cra, en prise avec une meute de mufafah.
Il sortit alors son marteau et courut l'aider:



[
Mhuahaha Vous vous attendiez a une bonne bagarre, avec tous les détails? Bah non, suite a des demandes, je vais être un peu moins... Précis.
En faite, je pense plutôt optez pour un poème célébrant la joie de vivre:
Le Froid

J’ai froid.
Si froid…
Je suis le froid.

Je ne pourrais pleurer même si cela m’était seulement possible.
Et si tu m’enlaçais, j’aurais froid.
Ne verrais-tu pas que la seule chaleur que tu toucherais serait celle de ta propre paume ?

Plus rien n’est.
La seule certitude que l’ont aient, c’est d’être.
Il est advenu que je ne suis plus.
Alors, plus rien ne m’est.
Je n’en pleure pas, car plus rien n’est,
Et je ne pourrais puisque j’ai si froid.

Être ?
C’est une chose à laquelle je n’aspire plus depuis longtemps.
C’est une chose à laquelle il est que trop dur d’être fidèle.

Oui…
Ma douleur n’est rien qui ne blesse.

Si vide est l’existence d’un homme,
Un homme que rien ne blesse plus,
Car l’espoir n’a rien à lui donner.

Pleurer ?
Si seulement je pouvais.
Pleurer,
C’est l’espoir en fontaine.
Les enfants sans espoirs, jamais ne pleurent.

L’espoir ?
Elle réchauffe comme si on ne savait pas,
Que tout n’est rien, sauf soi.

Moi, j’ai froid.
Je ne suis pas.
Rien n’est pour moi.
Pas de pleurs,
Pas d’espoir.

Ma douleur est que rien ne blesse plus mon cœur.

Scb


Ouais, c'était bien joyeux tout sa, retour à l'épisode.]



"Et bien je te dois une fière chandelle"
C'était une voix féminine, une cra. Elle se retourna vers lui et se retrouva nez-a nez avec son marteau:

"-Euh, je parle avec un marteau?
-Non, plus bas...
-Oops désolé.
-Ça va j'ai l'habitude.
-Et tu vas ou comme sa,avant que tu me sauve la vie?
-Et merde... Je me rendais chez Otomaï." Dit-il en s'éloignant rapidement
"-Ah ouais? Moi aussi, on peut faire le chemin ensemble." Elle le rattrapas rapidement en marchant normalement.
"-Pourquoi tu veut voir Otomai toi?
-J'aimerais qu'il me renseigne sur un objet que j'ai trouver...
-A tiens, c'est drôle sa, moi aussi!
-?

-Ouais, en marchant dans la plaine herbeuse, j'ai découvert un groupe de bitouf des plaines tués, alors que c'est une espèce protégé, et un feu de camp un peu plus loin.
Ceux qui y étaient ont du se faire attaquer, ou devaient braconner... Bref, il y avait des morts, et sur un de ces morts, cette drôle de bague..." Elle tendit une bague avec le même sceau que sue celle qu'avait trouver Arkenge.

"-Tu ne sais pas ce que signifie ce symbole?" demanda-t-il
"-Non, pas du tout, c'est pour sa que je vas voir Otomai. Alors on y va ensemble?
-Bon, si sa te fait plaisir. Du moment que tu ne prnd pas trop d'espace sonore.
-C'est quoi l'espace sonore?
-Laisse tomber..."

Il entrèrent plus profondément encore dans la jungle.
L'ambiance était lourde, pesante. Très humide, ce n'était pas génial pour garder une coupe de bo-goss.
Et soudain, un silence, long, très long, trop long....
Et elle explosa:

"-Tu sais que cette Jungle est assez bizarre, les monstres sont très violent ici, je ne sais pas pourquoi, il y a un aura maléfique qui plane ici...
-Hum hum...
Il faut éviter de faire trop de bruit ou de trop parler parce que sa les attirent vite, il y a eu beaucoup de mort ici, je ne vois pas pourquoi Otomai laisse faire sa, surtout qu'il a le pouvoir de faire le nettoyage ici, ...
-Ouais ouais
-...peut-être parce qu'il veut mettre a l'épreuve ceux qui veulent le voir, ou alors c'est une protection contre ses ennemis, ou alors les deux je ne sais pas tu en pense quoi toi?
- Franchement la tu me pète plus les c...
-Attention!
-...qu'autre choses!!!
....
-Bah quoi?" dit-il en la regardant.

Elle le fixait, non, pas lui, mais quelque chose derrière lui...













Oh my GOOOOD...

A suivre...

A suivre, je tente de l'allongé un peu plus tout les jours, mais j'ai pas toujours l'inspiration, donc a certain moment, j'écrirais rien, tout simplement...

Écris muet:

...FIOUSSSH
BROUM
L'Abrakleur sombre souleva une gerbe de branches, racines, feuilles quant-il abattis son poing à l'endroit même où se trouvait Arkenge.
Il martela la zone avec fureur. Quant-il s'arrêta, au bout de 7-8 coups, l'endroit où se trouvait Arkenge était dévasté.
La cra réagit alors et décocha une flèche explosive qui enflamma le monstre et le réduisit en cendre.
Elle se précipita vers le cratère:
"-Ah non, c'est pas vrai... Il l'a petit-morceaux-izer.
C'est incroyable, plus c'est petit,plus ca s'écrase vite... Il pouvait pas faire attention à la ou il marchait l'autre gros?
-Aheem
-Ah! Tu est la!"

Arkenge avait tout juste eu le temps de se téléporter, mais dans la précipitation, il c'était retrouve sur la tête de l'abrakleur, et avait déguster lui aussi...

"Ça va, c'était pas trop chaud?
-Je me passerais de ton humour foireux merci.
-Eyh, je t'ai sauver la vie!
-Ouais, juste avant d'essayer de me la prendre!
-Un merci suffirait!
-Ok ok ok Merci! Voila tu est content?
-Ouiii.
-Je ne t'ai toujours pas demandé ton nom?
-Je m'appelle Crylia.
-Moi Arkenge...

Et ils s'engagèrent encore plus profondément dans la Jungle.
Crylia était enfaite une pisteuse remarquable, plus d'une fois il évitèrent des troupes de monstres où encore trouvèrent de l'eau potable, et, suite a 3 jours dans cette jungle, ils atteignirent la base de l'arbre Hakam:

Voix masculine:
"-Hey Arkenge!!
-Merde! Je rêve!"


A suivre...

écris dans le donjon maitre pandore,

voix masculine:
"-Hey Arkenge!!
-Merde! Je rêve!
-Alors qu'est ce que tu fais la?
-Mais ce type a été élevé chez les trukicolle?
-Mais dis moi qui est cette jolie cra avec toi?
-Je m'appelle Crylia et toi...
-Moi c'est Adalrik, un beau iop ténébreux huum."

*tousse toussse*

"-Un problème Ark?
-Bon tu a pas un truc a faire,...
-Et qu'est ce que vous faite la?
-Bah j'ai rencontré Ark a l'entré de la jungle et on se rendait chez Otomai.
-Même pas un monstre a chassé?...
-Et pourquoi vous vous rendez chez Otomai?
-Ont a trouver des drôle de symbole sur des bague et ont aimerais en savoir plus...
-Une petite paix a nous foutre?...
-Fais voir ces symbole?
-Tien regarde"

Crylia tendit une bague des deux bague.
Adalrik l'observa longuement et finit par dire:

"-Je sais ce que sa me rappel!!
- Quoi? demanda Arkenge avec empressement
-Rien du tout...
-Raah
-Bon je viens avec vous!
-A ouais tu tape l'incruste quoi...
-Il vous faut un iop fort et courageux pour monter.
-Ouais, mais on a pas besoin d'un âne...
-Allez les filles on se bougeuuh!!
-Pourquoi tu veut toujours être avc moi?
-Parce que je suis ton meilleur pote depuis pres de 4 ans
-J'ai pas d'amis!
-Et bien maintenant tu en a deux nouveau, déclara avec enthousiasme Crylia"

Et, ensemble, ils montèrent dans l'arbre Hakam.


a suivre...

Pendant ce temps la, du coté des dieux :

« -C’est la que j’ai dit à Enutrof, ce n’est pas parce que je veux coucher avec la déesse Sacrieur que je suis nécessairement sad…

-Bon s’il vous plait…

-A tien c’est Feca qui préside aujourd’hui ?

-A boire !!!

-Ca me fatigue toutes ces réunions, *baille*.
-Je peux t’endormir une bonne fois pour toute si tu veux, buisson ?

-Comment sa, boisson ?

-Range ce couteau Sram, et toi écoute un peu Sadida, sa te changeras, tu viens de t’enfiler 4 jours de sieste…

-S’il vous plait ?

-Attention, Eniripsa fait sa loi, sa change…
-Tu veux dire quoi par la, Iop ? C’est clair que ce n’est pas avec ce que ta dans la tête que tu peux faire la loi !
-Je n’ai pas besoin de ma tête pour faire la loi…. Hey, sa veut dire quoi sa ?
- Laisse tomber…

-A boire, j’ai dit !!

-Toi Cra, tu reste à ta place. (il se tourne vers Eniripsa) Je viens de te demande ce que tu voulais dire par la !
-Pile, ils se mettent sur la tronche, face, ils se réconcilient, je pari 200.000k
-Tenu !!! A moi les kamas ahahahah…

-Bon, s’il vous plait, par ici, youhou…

-Tu as intérêt à me faire des excuse toi de suite Eniripsa, ou tu va finir en pâté, et nourrir les chachas !
-Ok, ok, je m’excuse que tu ne sois pas en mesure de comprendre le sens profond de chacune des mes phrases.
-Bien !
-Tu as perdus, à moi la bourse !
-Merde.
-Tu disais quoi, Ecaflip, à propos de couché avec moi ?
-Euh… Personne n’a vu Osamodas ?
-Ne change pas de sujet ! Qu’est ce que tu disais sur moi ?

-VOUS ALLEZ M’ECOUTER, OUI !!!

-Bon, il serait temps de commencer la réunion, on va finir par être en retard, et je déteste être en retard, sa m’énerve et sa me donne envie de tuer tous ceux qui m’ont mit en retard, autour de moi… Ce n’est pas bien d’être énervé… (dit Xelor en fixant lourdement les dieux présents autour de la salle, ce qui jeta un froid).

-Merci Xelor, je vais enfin pouvoir commencer…

-Coucou tout le monde, j’ai raté quelque chose ?
- Non, installe-toi, on allait commencer…


A suivre…

« -Bon, tout le monde est-la ? On peut commencer ?
-Ouaich !
-Bon, on commence avec les Finance, Enutrof, si tu veux bien en parler ?
-Tu parle si j’veux !, Euh oui, je vais le faire. Bon, comme vous le savez, les offrandes sont de plus en plus minces et…
-Et on n’aura bientôt plus rien à BOIRE !
-… on va perdre en pouvoir surtout, car nos pouvoirs dépendes de la foi de nos apôtres…
-Ce ramassis de bras cassé, qui ne savent pour la plupart même plus tenir une épée !
-On se passera de tes commentaires Iop.
-…et qu’il faut les pousser à croire en nous, genre envoyer un « miracle » et les redresser tous et ainsi ils auront tendance à augmenter les offrandes.
-Et à quel genre de miracle penses-tu ?
-Et bien il y a toujours la bonne veille méthode de la piste d’un Dofus retrouvé…
-Je ne suis pas d’accord !
-Plait-il Sadida ?
-Et bien on vient de dire que nos pouvoirs s’amenuisaient, il n’est vraiment pas approprier d’augmenter ceux de la masse… Et surtout avec un Dofus !
-Et tu propose quoi ?
-Envoyions un guerrier puissant sur le monde, celui qui le battra sera reconnus comme un Héros, et…
-Et seul le Dieu du disciple qui battra le guerrier verra ses pouvoirs augmenter !
- Héhéhé…
-Tu as une meilleure idée à proposer Sram ?
-Evidement : la mort !
-QUOI ?
-Réfléchissez, qu’elle est le meilleur moyen de tous les rallier, de tous leur redonner foi en nous ? C’est de d’abords les affaiblir au maximum, avant de leur redonner les pouvoirs qu’ils ont eu avant, ils croiront alors qu’ils ont gagné énormément de pouvoirs !
-Mais pour qu’une telle méthode marche, il faudrait les affaiblir pendant des mois !
-Non, pendant des années !
-Des ANNEES !!!
-Je me rebelle contre cette idée !!
-Eniripsa se rebelle, tadadaaam.
-Toi, ta gueule ! Vous êtes en train de me dire que vous êtes près à empoissonner des millions de gens uniquement pour votre petit plaisir !
-Il ne s’agit pas de notre petit plaisir, mais de notre survie.
-Il ne s’agit pas d’un empoissonnement, mais d’une maladie…
-C’est PAREIL !!! Et qu’elle genre de maladie vous voulez lâcher sur ce monde ?
-Je pensais à la peste…
-Tu me dégoute Sram !!Je crois bien que je hais chaque parcelle de ton corps !
-Et moi je ferais bien glisser une lame sur ce petit cou de chaire rose…
-Bon sa suffit ! En tant que présidente, j’organise un vote.
-Tu es prête à accepter sa Feca ?
-Votons ! »

« -Très bien, en attendant le dépouillement, passons a un autre sujet, celui des ressources écologiques, Sadida, a toi la parole.
-ZZZzzz…
-Sadida?
-ZZzzzZZz...
BLAM!!
-SADIDA!
-Oui, que, quoi? A oui, les ressources écologiques, bon voila le topo: Les ressources ont atteint un pic incroyable de réserve !
-C'est-à-dire ?
-L e sol n’a jamais été aussi fertile que c’est temps si, il faut donc l’exploiter au maximum. Je propose de leur fournir l’idée de construire plusieurs fermes, un dans le Canyon, une sur l’Ile d’Otomai, une sur l’ile du Minotot, deux sur celle de Moon, est 3-4 a Amakna.
-Bref tout va bien ?
-Oui. »

« -Bon, troisième sujet, la guerre Bonta-Brakmar, Iop, s’il te plait ?
-La guerre est en constante expansion, tout va bien de ce coter, ils sont très fort pour se mettre dessus…
-De plus, grâce aux nouvelles fermes, ils vont pouvoirs nourrir encore plus de soldats et augmenter leurs rangs respectifs.
-Fais attention a ce que sa ne parte pas en testicule totu de même.
-T’inquiète, j’assure ! »

« -Et enfin, hum, le dernier, euh... sujet… Comment ca c’est passé Sram, Sacrieur ?
-Ont les a retrouvé sur l’Ile d’Otomai, mais elle était seule…
-Vous n’avez pas eu l’autre ?
- Calme-toi Osamoda…
-Dois-je vous rappeler que leurs parents ont récolté 5 des 6 Dofus primordiaux ? Et qui si les troupes de choc les ont battus c’est uniquement parce que le père n’avait pas son marteau, dans lequel il a implanté trois de leurs Dofus ?
-Deux étaient dans l’épée de la Iop…
-Mais trois sont ont ne sait où, et si quelqu’un trouve ce marteau, il trouve 3 Dofus.
-Le fils n’est pas mort…
-Plait-il Sram ?
-Le fils n’est pas mort, et c’est lui qui avait le marteau… Je lui aie envois une réception, je sais ou il est, il parlera…
-Du moment qu’il est en états de parler… »

« Voici les résultats du vote : La peste est acceptée à 8 voix contre 4 ! »

À suivre…

« -Non…
-Les fermes serviront à rependre la peste part le biais du blé et des milirats, le fait que les sols soient fertile permettra d’accoiser une production contaminé un peu partout sur le monde des Douzes, et la bataille qui se prépare entre Bonta et Brakmar servira à appauvrir les populations et créer une famine.
-Vous aviez tout prévus… Tous depuis le début…
-Il n’y aura que très peu de survivant. »


Pendant ce temps dans l’arbre Hakam :
« -Attention la branche ! »
FPLAF
« -Aie, mes dents, j’ai mal !
-Tu pourrais faire attention Adalrik ! Sa va Crylia ?
-Je survivrai…
-Bon on est ou la ?
-Tu veux un topo global ou plus précis ?
-Global ?
-On est paumé !
-Plus précis ?
-On est paumé dans l’arbre Hakam, sur une ile, au milieu de nulle part, avec quasiment plus de nourriture n’y d’eau, et s’y on se dépêche pas, dans 3 jours on est morts de soif ou de faim.
- Ah ouais, j’aime…
-Hey, j’ai toujours ma carte magique !
-C’est a cause d’elle qu’on est la Adalrik.
-On peut toujours lui demandé le chemin ? Oh carte, indique nous ou on est !
-Dans l’arbre Hakam.
-Et elle dit sa naturellement en plus… Et avec précision…
-Ou dans l’arbre Hakam ?
-Branche n°458 au sud-est du tronc central.
-Tu voulais de la précisons non ?
-Et ou on doit aller pour voir Otomai ?
-Sur l’ile d’Otomai.
-Bon quelqu’un la prend cette carte, ou je la brule.
-Ou il est dans l’arbre Hakam, carte ?
- Branche n°689, au nord-ouest.
-Mais qu’est ce qu’on fout sur la branche n°458 ?
-Pas à moi qu’il faut demander.
-Indique-nous le chemin pour atteindre la branche n°689 carte.
-….recherche de l’itinéraire le plus court, merci d’avoir choisit radio-trafic et bonne vacance….
-………
-Et voila, y a plus qu’à suivre le chemin…
-Ouais…»

Après deux jours de marche dans l’arbre Hakam, ils finirent par atteindre le Village des Zoths, et sa population, quelque peut particulière :

«- J’ai peur…
-Ca va Adalrik, c’est juste une petite fille. Aller ramène toi, la maison d’Otomai est là-bas.
-Alors pourquoi elle me fixe comme sa ?
-Comment comme sa ?
-Ce regard vide, comme si elle était morte.
-En même temps, c’est une petite fille égorgée sur le sol et qui se vide de son sang, je la vois mal se lever et te faire la bise.
-Mais sa te choque pas que l’on soit entouré de mort ? »
Ils étaient a l’entrée du village Zoth, les portes avaient été littéralement explosés, ils n’en restaient plus que des morceaux noirci qui pendaient aux gonds.
Autour de ces portes, des dizaines de cadavres de Zoths, aussi bien des guerriers que des enfants, le sol était rouge et rendus glissant par tous ce sang, et l’odeur de corps en putréfaction mélangé a celle du sang était horrible à soutenir.
Un peu partout, les corps avaient été lacérer, et laisser à l’abandon. C’était un mélange de chair et de sang, d’os et de métal, que la seule vue rendait malade.
Il planait un léger brouillard, et la température était beaucoup plus basse.
« -Tu sais Crylia, les batailles c’est tous les jours tu sais et les guerres de clans, alors la…. »« dit-il sans grande conviction.
« -Attend, mais regarde autour de toi, ce sont des guerriers et des maitres de guerre Zoth qui sont mort ici, moi-même j’ai eu du mal la seule fois ou je e suis fritter avec l’un deux, alors avec ces 50 là, celui qui a combattu devait être sacrement fort.
-Qu’est ce que tu viens de dire ?
-J’ai dit que celui qui a combattu devait être sacrement fort !
-Comment peux-tu être sur qu’il était seul ?
-Ca se voit a leurs blessures, tien regarde, celui-là la…
-Celui a qui il manque le bras droit et la jambe gauche ?
-Non, l’autre derrière, qui ce vide de ses boyaux, et puis celui-là aussi, qui a perdus la tête…
-Bah quoi ?
-C’est tous la même entaille, que ce soit au cou, aux bras, aux jambes… C’est à chaque fois la même entaille. Faite par un sram, a n’en pas douter, vu la taille de la blessure, une bonne petite dague, FUIIT, et plus rien.
-On nous observe…
-Qu’est ce que tu as dit Adalrik ?
-Nous ne somme pas seul. »


A suivre...

Bon la suite demain, peut-être un peu ce soir, je verrais si j'ai la foi...

Suite a des demandes, je me penche un peu sur l'histoire des personnages:
Cour chapitre, c'est dimanche soir, demain, j'ai tout le temps pour la suite...

« -On est pas seul »


[
Depuis qu’Arkenge connaissait Adalrik, son instinct de guerrier ne l’avait jamais trompé.

Adalrik était né à Amakna, d’une famille bourgeoise, qui le gonflait énormément. Il préférait passer ses journée en compagnie de délicieuses créature a Astrub, la cité des Roublards, plutôt que de travail et reprendre la fabrique de textile de son père, qui avait rendue sa famille richissime.
Jusqu’au jour où il c’est fait capturer par des bandits. Ils ont demandé une rançons très salée a ses parents…

Ils ont payé…. Le triple…. Pour qu’ils le gardent…
Depuis Adalrik à reçu sont éducation de bandits de tous poils.

Jusqu’au jour où il a eu le malheur de croiser Neya, avec Arkenge qui faisait des provisions pour fuir, il y a 4 ans. Il a essayé de leur faire les poches avec des « amis ».
Ils se sont tous fais tuer sauf lui.

C’est à ce moment qu’il a juré à Neya de la protéger éternellement, en échange de sa vie.

Depuis que Neya est morte, aller sa voir comment il l’à appris, avec ses relations…, il c’est juré de protéger Arkenge, au grand dame de celui-ci…

Depuis, ils se sont souvent croisé a des endroits souvent improbable…

Et il a quand même été d’une certaine aide durant ces 5 ans de fuite, grâce à ses relations, son instinct de guerrier qui a sauver Arkenge et sa sœur de plus d’un piège et embuscade , détruisant ses ennemis, disparaissant toujours, pour réapparaitre, 2-3 mois plus tard, a l’opposé de la ou il était.

Jusqu’à l’arbre Hakam…
]

Je suis sur que l'on nous observe...

Aussitôt, Arkenge, qui avait foi en la seul capacité qui marchait chez Adalrik, se mit en arrêt, Crylia sortit son arc et l'arma, doucement, elle tendit la corde le long de sa joue, et visa, un point, assez loin...

Qui bondit aussitôt sur le groupe...

franchement mec tu assure ce texte est trop bien continu sinon je te coupe la jambe, la gorge, et le bras a coup de dagues

Merci de me soutenir ^^
Mais les commentaires se font la
--> https://covenant-maimane.forumgaming.fr/la-bibliotheque-f2/commentaire-arkenge-ou-la-resurection-d-un-meurtrier-t52.htm

Si eva veut bien supprimer mon post et déplacer celui de ritch, merci.

Wouah!

Ce texte se limite a la restriction 12+.
Écris sur un fond de Paramore et de cours d'histoire.

Deux poignards jaillirent des fourrées, droit sur Adalrik, qui les dévias à l’aide de sa lame.

C’était une épée gigantesque, de plus de 2 mètre de haut, d’une couleur rendus pourpre à force d’éviscérer des ennemis et de décapité des adversaires du clan des Roublards. Elle était finement ciselée et recourbé au bout. Malgré la barbarie de l’objet, elle dégageait une certaine beauté.

Il contre-attaqua immédiatement en fondant sur les fourrés et donna un grand coup d’épée circulaire.

C’est alors qu’ « il » l’arrêta avec deux simples dagues, une dans chaque main.
Crylia bandât son arc et tira, mais le rata, manquant de toucher Adalrik
« Il » savait que s’il restait dans cette position, il finirait mal, le iop ayant rapidement l’avantage, de part sa force, et le poids de sa lame, c’est alors qu’«il » tourbillonna sur lui-même en esquivant le coup et… disparut, tout simplement.

Adalrik effectua un bond pour se rapprocher du groupe, tandis que Crylia effectua un tir de barrage pour le couvrir.

C’est alors qu’il atterrit sur un piège, qui explosa, répandant un nuage de fumée.
«-Adalrik !
-Arkenge reste près de moi, cette fumée arrange le … »

Alors, Arkenge entendit Crylia hurler de douleur.

Un hurlement qui exprimait une douleur infinie, une peur indéniable, une détresse… puis plus rien.

La fumée rendait impossible l’utilisation de ses yeux pour se repérer. Le cri de Crylia bourdonnait encore dans ses oreilles, et il ne sentait que l’odeur de la poudre et du… du sang ?
Il ne pouvait plus se fier à ses sens et était entouré par les ténèbres.
Ne pas paniquer, surtout, essayer de se concentrer, de reprendre ses esprits.
Impossible, tout ce qu’il voyait c’était Adalrik expulsé par la violence du piège et il n’entendait que le cri de Crylia.

Alors, il sentit une piqure su son flanc droit. Il s’esquiva vivement et rapidement sur le flanc gauche.


Alors la souffrance lui tordit les entrailles et le forçat à se plier en deux.
Le sram n’avait fait qu’une simple feinte sur la droite avant d’attaquer sur la gauche.
Et Arkenge c’était précipité dessus.
Le sram lâcha la dague, qui était enfoncée entre deux cotes du xelor, et le regarda vomir du sang.
Il se penchât alors sur lui, lui écrasa la nuque et tira sur ses cheveux :

« -Je peut te garantir que tu va me dire tous ce que tu sais »
Il retira un peu la dague et Arkeneg tenta d’aspirer un maximum d’air, mais son flanc le torturait. Il demanda :
« - Qui es-tu ?
-Je suis un envoyé des dieux ; un ange, ahah. Je suis la pour récupérer ce sue tu leur a subtilisés.
-Je ne vois pas de quoi tu parle… »

Alors le sram enfonça une de ses dagues dans l’épaule d’Arkenge, d’un coup sec et violent, tout en appuyant sur celle entre ses cotes.
Fou de douleur, il hurla. Ses muscles étaient paralysés, il ne sentait plus que les deux dagues dans sa chair.

Quand l’assassin retira ses deux dagues, du sang ruisselait le long du corps d’Arkenge.
Tombé au sol, il haletait, tremper de sueur et de sang, les yeux noyés de larmes.

« -Tu ne crèveras pas si tu parle…
-Et toi tu va crever si tu le fait parler ! »

Alors, le sram se redressa, les yeux convulsés, secoué de spasme, une flèche entre les deux yeux.
Il s’effondra sur le sol, inerte.
« -Arkenge, sa va ?
-Ada… Adalrik ?
-Tien bon, on va chez Otomai, il saura te soigner… »

Arkenge sentit qu’on le porta. Il ouvrit les yeux et vit les visages inquiets de Crylia et Adalrik au dessus de lui.

Et il ferma les yeux…

Wesh, vive les cours langues:

Il avait les bras et les jambes lourdes, et l’impression d’avoir du plomb dans l’estomac. A peine essaye-t-il de bouger que tous ses muscles protestèrent et se mit à vomir tous ce qu’il avait.
« -Et bah, qu’est ce que tu as mangé ? Ah non, ne dit rien, on va trouver !
-Va donc…Ou on est ?
-Chez Otomaï. »

Il ouvrit les yeux. Il était nu, dans un lit, avec…
Crylia ?

« -AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH.
-Hey ? Sa va ?
-On a ? ON A ?...
-Non, mais j’aurai bien aimé… »

Adalrik arriva en courant dans la chambre, l’épée brandit au dessus de la tête, épée trop grande pour passer par la porte dans cette position, elle resta plantée dans le cadre de cette dernière.
Adalrik, entrainé par son élan, décolla et atterrit sur le lit, sur Arkenge.

« -Arh, j’ai entendus crier, alors je suis venu. Mais tu es nue Crylia !
-Tu es sur Ark.
-Ah, oui, en effet.
-Mais pousse-toi, gros tas. »

Otomaï rentra alors dans la chambre.

« -C’est normal, l’épée qui pend au cadre de la porte ?
-Euh… c’est la mienne…
-Pourquoi on est dans le même lit, Crylia et moi ?
-Quoi, sa ne te plait pas ? »

La remarque d’Otomaï me fit rougir, et Crylia rigola

« Tu as été violemment empoisonné, par les dagues je pense, la température de ton corps a chuté et ton cœur c’est presque arrêté, Crylia était la pour te réchauffer.
-J’aurais bien aimé faire plus…
-Sa suffit les conneries, tu ne t’approche plus de moi !
-Ahaha.
-Bon, comment je vais ?
-Les bandelettes qui t’entourent ont absorbées une partie du poisson, tu as donc été moins touché, mais la douleur a quand même été élevée.
-Donc, je peux bouger…
-Ménage-toi quand même. »

Arkenge se leva et s’habilla lentement, Crylia fit de même, tandis qu’Adalrik récupéra sa lame et Otomaï sortit.

Ils rejoignirent Otomaï sur le balcon, en passant par la salle principale.

Elle était faite du tronc principal de l’arbre Hakam, de branches et planches pour les murs et le sol, et de feuilles géantes pour le plafond, renforcé par des lianes. Les fenêtres n’avaient que de simples lianes, laissant passer une ombre jaune-orangé sur la salle, et un mince filet d’air passait par le plafond, pour évacuer l’humidité qui venait du sol et de la Jungle obscure.
Le balcon se situait à plus de 1.000m de hauteur, et on devinait le labyrinthe de branches et de feuillages en dessous.

Ils trouvèrent Otomaï attablé, devant un copieux repas.

Ils allèrent enfin avoir une réponse à leur question

Quelque part, dans le monde des douze, dans une ferme, posée sur une table en bois, une lettre :

« Cela va faire 4 jours que je suis à la maison du ruban adhésif, à Bonta, et tu n’es jamais venus me voir.
J’ai beaucoup pensé à toi. Je rêve de ton corps, je rêve de ta bouche, je te veux près de moi
Je sais que la ferme te prend beaucoup de temps, surtout seul, mais prend une pause, ménage-toi, viens me voir, au moins pendant l’accouchement.
J’ai peur, je suis seule, dans cette grande ville, j’ai peur de tout ce monde, ce qui peut arriver, à moi, à nous, à notre enfant.
La ferme me manque, nous deux, seuls, perdus au milieu de nul-part.
Au passage, peint le lit en rose, le médecin pense sérieusement que c’est une fille.

Je t’aime, mon amour»


Et la réponse, qui dépasse d’une enveloppe, sur cette même table :


« Je le sais, mon ange, je viens demain, par le premier transporteur.
Je rêve de ta peau et de tes mains, je ne pense qu’à toi
La ferme me prend tout mon temps, mais quand je viendrais, je serais tranquille, elle ne risquera plus rien.
Je suis heureux que nous ayons enfin notre premier enfant.

Je vous embrasse, toi, l’enfant, et tes fesses.

Ton dévoué fermier. »


Elle est la, posée sur une table, seule.

Il n’y a personne dans la pièce.
Il y a de la fumée, beaucoup de fumée.

Des flammes rentrent dans le salon… La ferme brule.

Au dehors, on entend un puissant brouhaha.
C’est un véritable vacarme, l’armée de Brakmar qui se dirige vers Bonta.

Et le père est, la, allongé, dehors, face contre terre après avoir été torturé et tué par ces guerriers..



Il ne connaitra jamais sa fille.

«- Alors, pourquoi vous vous ramenez à moitié mort devant ma porte ? » Il avait un ton ironique et joyeux mais il était clair qu’il était mal à l’aise, comme si la présence des 3 aventuriers le gênait.
« -Arkenge et moi avons trouvés une bague, avec dessus un drôle de symbole, et on aurait aimé que vous nous en disiez plus, si c’est possible. » Elle tendit l’anneau en question.

Il ne prit pas la bague,

« -Alors, vous avez fait tout ce chemin pour venir me montrer un symbole? Vous me ramenez un xelor a moitié mort et vous voudriez me faire croire que c’est a cause de sa ? Quel est le véritable motif ?
-A vous de nous le dire. »

Il prit la bague et à peine eut-il posé les yeux sur le symbole qu’il la lâcha, comme si il c’était bruler, avec une frayeur inimaginable dans le regard. Alors, il reprit es ésprits, et it, d’un ton rapide et coupant net la discussion :
« Je n’ai rien à vous dire, allez-vous en, et que je ne vous revois plus ! »

Alors, le sang d’Arkenge ne fit qu’un tour :
« -Nous en aller ? NOUS EN ALLER ? »
Il frappa la table de toutes ses forces en se levant :
«- VOUS SAVEZ SEULEMENT CE QUE J’AI VECU POUR EN ARRIVER LA ?
-Ark, calme-toi,…
-Mes parents sont mort, assassinés sauvagement, j’ai fuit a travers le monde des douzes pendant 5 ans, 5 longues années, pour arriver ici, échouer sur une Ile déserte, au milieu de nulle part, pour finalement, un soir, découvrir ma sœur violer et tuer, j’ai sauver une cra de la mort, retrouver un iop qui me colle depuis près de 4 ans, pour arriver devant un village et mutiler par un sale maniaque du couteau qui est venu de je ne sais où, pour tenter de me prendre je ne sais quoi, et, le comble, j’ai failli être violé par la cra que j’ai sauver, pour que au final, on me dit de tout oublier et de rentrer chez moi, comme si rien ne c’était passer ! VOUS VOUS FOUTEZ DE MOI ?? »
Il était essoufflé, et s’effondra sur sa chaise.
« -A croire que les Dieux eux-mêmes m’en veulent…. »
Otomaï détourna le regard, mais Crylia eu le temps de voir une lueur de tristesse y passer.
Adalrik avait encore la bouche ouverte, abasourdis qu’Arkenge puisse avoir autant de tempérament.


« -Très bien, je vais vous dire ce que je sais, mais après, allez-vous en… »
Arkenge releva la tête, Adalrik ferma la bouche et Crylia fixa intensément le scientifique.
« -Il y a 10 ans de sa, que tu n’étais pas encore né, tes parents ont décidé de partir a la chasse au Dofus, ces œufs de dragons qui donnent des pouvoirs énormes.
Ils étaient très motivés, ahah, quand je te regarde, je revois ton père, un sacré xelor, toujours juste, qui réfléchissait plus qu’il n’attaquait, il prenait toujours les bonnes décisions. Ta mère, une iop, était le contraire, impulsive, violente, mais très douce en dehors des combats. Ils se complétaient bien…

Ils ont commencé leurs quête… »
Tout le monde était suspendu aux lèvres du savant.
Crylia demanda :
« -Ils en ont trouvé un ?
-Non… Ils en ont trouvés cinq.
-CINQ ??
-Oui, cinq. Une puissance inimaginable concentrée au même endroit, la puissance des dieux… Ce qui a inquiété les dieux.
-Comment sa ?
-Ils ne s’entendaient pas a ce que des humais trouvent plus de deux-trois dofus, cinq, c’étaient beaucoup trop.
Ils ne savaient pas comment intervenir, ils ne pouvaient pas demander de les rendre, car la cupidité des hommes est sans limites, tes parents auraient refusé, alors ils ont…
-Ils ont ?
-Ils ont envoyés leur milice, déguisés en représentant de temple, tes parents ne faisant jamais d’offrande, ils auraient du être mis aux arrêts, le temps que l’on saisissent leurs bien.
-Alors les vieux ont cassé les dents à la milice !!
-Non, Adalrik, ils se sont laisser faire, ils ont été en prison, le temps que la milice cherche.
-Mais elle n’a rien trouvée, elle a donc tuée mes parents, puis ma sœur, car elle ne savait pas ou ils sont, et maintenant ils me recherchent. » conclu Arkenge.
« -Exact, et ce symbole est le signe de leur milice.
Un conseil : si tu vois quelqu’un avec cette bague, fuis, fuis si tu tiens à la vie. »
Alors Crylia se leva d’un coup, renversa la table et pointa son arc sur…. Otomaï…
« -CRYLIA !!
-COMMENT? COMMENT SAVEZ-VOUS TOUS CELA ? »
Alors Arkenge et Adalrik fixèrent Otomaï
« -Je suis désolé, ils m’ont forcés à vous retenir. »
Alors ils entendirent la porte s’enfoncer et virent, dans le salon, un xelor, armer d’un marteau démesurer, lancer une horloge. Derrière lui, une cra, qui tirait déjà une flèche ralentissante.

« NOOON !! »
Crylia avait déjà enjambée la rambarde et sauter dans le vide qu’Adalrik saisit Arkenge et se jeta lui aussi dans les 1.000m de vide qui les séparaient de la terre ferme.

Le vent soufflait fort dans la plaine.
Le temps était à l'éclaircie, et la journée s'annonçait pas trop chaude.
Les tours de gardes allaient être un délice sur ce poste avancé de Bonta.

Une petite forteresse, au limite de la Lande de Sidimote.
Bien sur la vue de cette lande n'est jamais revigorante, mais depuis quelque mois ,les brakmariens se tenait tranquilles, et de plus en plus de réfugier traversaient cette lande vers Bonta, même si la plupart finissaient mort, la promesse d'une terre d'accueil était toujours alléchante, malgré le fait que la lande, recouverte d'une sorte de cendre, était très fertile pour les fermes.

Aujourd'hui, rien d'anormal, tout est calme, les 1.000 soldats sont reposés.

Quand soudainement, un gigantesque nuage de poussière apparait a l'horizon. Non pas de ses tempêtes de cendres, fréquentes la-bas, celle-ci produisait des étincelles, comme des flash lumineux.

Plusieurs soldats le virent et se penchèrent sur les remparts pour avoir une meilleur vu, quand un cra, à la vue plus aiguisée que d'autres hurla:

"C'est des brakmariens, c'est des brakmariens qui attaquent, ils doivent être bien 50.000 !!!"

Aussitôt, les soldats furent pris de paniques. Brakmar,former une armée de près de 50.000 hommes, après la défaite d'il y a 2 ans et qui avait ruinée son économie? Impossible.
Malgré cela, elle était bien la, devant eux.
Alors les généraux prirent le commandement et envoyèrent une demande de renfort à Bonta, part un osamoda,tout en organisant la défense.

50.000 contre a peine 1.000, la fuite était obligatoire, mais il fallait attendre les ordres, de plus, leur position permettait de tenir, même avec 200 hommes, car la forteresse était dans un goulot, et défendait facilement l'accès à la plaine de Cania.

La défense était simple, les hommes se tenait sur les murs et dans la montagne et n'avait qu'à cribler de flèches ceux qui approchaient. De plus, de nombreuses parties du goulot était en position d'effondrement volontaire, pour couper la route.
Avec un rapide calcul, les généraux savaient qu'ils pouvaient tenir 10 jours maximum, avec toutes les défenses qui fonctionnent et si les ennemis n'utilise que des hommes et des cordes pour escalader.

Les hommes furent rapidement en position. Alors vient le moment le plus dur, l'attente, avant la bataille. Celle ou chacun se souvient de sa famille, de sa femme que l'on a laisser à Bonta, de ses enfants, de ses amis, certain tournant la tête de droite à gauche pour les chercher, et surtout, la crainte d'une mort prochaine.

La horde brakmarienne fut rapidement sur eux, les généraux à dos de dragodindes, les ''soldats'' a pied.
On pouvait voir le scintillement de leur arme remplir le goulot de toute part. Ils venaient par vagues successives, investissant tous, détruisant et piétinant sur leur chemin.
Alors, ils s'arrêtèrent, laissant découvrir aux bontarieux l'ampleur de l'apocalypse qui se déroulait à leurs pieds. les défenseurs regardèrent, paralysés d'effrois.
Ce n'était pas 50.000 guerriers qui se tenaient la, mais bien dix fois plus, sans compter les invocations, qui se tenait la.

C'étaient des invocations en première ligne, des dragonnet rouge, des craqueleurs, suivit de près par des osamodas, ensuite venaient les iops, des sacrieurs et des ecaflips, puis des sadidas qui couvraient avec des ronces, des fecas qui lançaient leur bouclier devant les troupes, les cra, les eniripsas et les xelors en dernière ligne, motivant les troupes.

Alors ils poussèrent leur cri de guerre. C'était un cri quasiment inhumain, ou aucun mot n'était présent, on ne percevait que la haine et la soif de sang.

J'arrête l'histoire, je ne sais vraiment plus quoi écrire, c'est la grosse déprime...
Apres, si vous avez de quoi me remonter le morale, poster le ici -->

https://i.servimg.com/u/f63/15/03/92/04/poisso10.jpg

Comment sa elle était pas drôle ma blague?

Bref, voila la suite tant attendue:


Crylia c’était déjà rattrapé a une branche, et virevoltait entre les lianes, attrapant les branches les unes après les autres, ralentissant sa descente au fur est à mesure.

Adalrik, lui, jeta Arkenge en l’air pour se rattraper à une liane et se laisser glisser, malgré le frottement de sa paume contre le végétal.

Arkenge tombait, tout simplement, comme une pierre. Il décida alors de se téléporter de branche en branche pour ralentir sa chute, mais a peine eut-il lancé une téléportassions qu’il ne put plus le faire.

« -Et meeerde. »

Alors un cri résonna, Arkenge leva la tête et vit les deux chasseurs sauter dans le vide et, il leur poussa de larges ailes. Alors ils piquèrent sur Arkenge.

Voyant sa, Crylia s’arrêta et lança une flèche d’expiation pour les ralentir, mais ils étaient trop rapides et, après avoir évités la flèche, continuèrent à descendre.

Arkenge décida de fuir, de branche en branche, pour distancer ses poursuivants.
Son avantage était qu’il n’avait pas de grandes ailes qui le ralentissait dans cette enchevêtrement de lianes, feuilles, branches.
Il gagna vite de la vitesse, mais le xelor ennemis avait compris qu’ils n’auraient aucune chance de les suivre dans la jungle, entreprit de faire de même.

Ce fut un course effréné vers le sol, les deux xelors cote à cote, se lançant des aiguilles, des horloges, des sabliers, tentant de se ralentir mutuellement, la végétation brulant autour d’eux, esquivant les ralentissements, les démotivations, d’une branche à une autre, tentant d‘attraper et de fuir.

Ils atteignirent une vitesse inimaginable, alors Arkenge vit Adalrik, sur le sol. Il se dirigea vers lui, le xelor toujours a ces trousses.

Adalrik compris, il amorçât son bras et frappa de toutes ses forces.

Arkenge évita l’attaque, mais pas l’assassin derrière lui qui la mangea de plein fouet, et se retrouva en orbite.

Alors Adalrik explosa de rire, suivit par Arkenge, atterrissant:

«-AHAHAHA
-Mhuahahaha
-Touchdown, point pour l’équipe des gentils ahahahaha. »

C’est a se moment qu’une flèche destructrice les atteignit.

« -Transformation par l’équipe des ’méchants’ » dit la cra en atterrissant allégrement sur le sol, au milieu de la fumée.

Elle se mit à rire, mais un rire diabolique, a faire pâlir un brakmarien dans la force de l’âge.

« -Tiens Adarik, tu a toujours voulut taper la discussion avec un ange, je te laisse faire » dit Arkenge en s’éloignant lentement.
« -Je ne ferais rien, à toi l’honneur. »

Elle recula et arma son bras, vers Adalrik.

«- Supprimer les gardes du corps et interroger la cible… »

Elle tira sur Adalrik qui se tourna de 90° pour attraper la flèche en vol, et la renvoyer vers la cra.
Elle roula sur le sol et lança un tir de barrage, le temps de se mettre à l’abri, derrière un arbre.

« Bon, elle est à moi, elle. »
En disant cela, il se dirigea vers l’arbre ou c’était réfugier la cra et le coupa en deux, comme du beurre, pour ensuite le pousser sur la cra, qui fut contrainte de sortir de son abris.

Elle sauta par dessus le coup horizontale d’Adalrik, pour atterrir debout sur l’épée, sortis une flèche de son carquois et lui plongea dans la gorge.

Alors Arkenge lança un cadran, sur lequel l’archère ricocha. La violence du coup la força à lâcher la flèche et Adalrik en profita pour lui assener un coup de boule, le craquement qui s’ensuivit fit savoir que le nez de l’assassin était cassé. Le coup l’envoya bouler contre une pierre.

Elle ne bougea pas mais dit :
« Bandes d’idiots, croyez-vous vraiment que vous allez pouvoir vaincre un ange ? Une envoyée des dieux ? Que ce sont deux minables vont me faire lâcher MA cible ? »
Elle se releva, une ombre planant autour d’elle, ses ailes réapparurent, et son arc se mit a grandir démesurément.
« Vous allez mourir… »
Elle sortit lentement de son carquois, non pas une flèche normal, mais un carreau de baliste, de près de 2 mètres de long, entouré de barbelé, et dont le bout suintait un liquide vert-noir.
Avec une vitesse et une force hallucinante, elle l’encocha et tira sur Arkenge.
Qui n’eut que le temps de se momifier.
Même si le carreau ne l’avait pas transpercé, il le percuta de plein fouet, l’entrainant avec force dans un arbre, qui, sous l’impacte, s’écroula sur le xelor.

Adalrik, n’ayant rien perdus de sn instinct de guerrier, profita de ce moment de flottement pour foncer sur la cra et la couper en deux, d’un large mouvement, du haut vers le bas.

Alors Crylia atterrit sur le sol. Adalrik, surpris, fit un grand tour circulaire, qui manqua de justesse la cra :

« -Hey, sa va pas ?
- A te voilait toi, tétait ou ?
-J’ai vu passer un xelor dans les branches alors je l’ai suivit et achever. Ou est Arkenge ?
-Sous l’arbre, là-bas.
-Ah, ok…. QUOI ?"

Après avoir soulevé l’arbre, ils découvrirent Arkenge, momifier, et bon états
« -Tu vois, c’est costaud ces petits trucs la.
-C’est de moi que tu parle comme sa ? » dit-il en s’extirpant tant bien que mal de la.
« -Bon, ou est-ce que l’on va ?
- Pff, je ne sais plus trop ou j’en suis… »

Adarlik lui flanqua une grande claque dans le dos, lui décrochant au minimum 2 cotes.

« -Hey, je t’ai déjà vu plus motivé que sa.
-C’est pas avec les cotes en moins que j’irais mieux !
-Bon, déjà, le but est de sortir de cette foret, pour rejoindre le village, de la on prendra le navire pour atteindre le continent.
-Pour quoi faire ? »
Crylia sortit un morceau de papier de sa poche, avec, griffonner dessus, un mot :
Brakmar, Pazis.
« -Voila pourquoi.
-A ouais, tu as eu sa ou ?
-C’est Otomai qui la glisser sur la table, pendant qu’il parlait, je l’ai prit et c’est la que les deux affreux sont arrivé.
-Bon bah va pour Brakmar alors »




De la ferme, il ne restait plus que des cendres et des amas de poutres carbonisés, où circulaient de nombreux rats.
Les récoltes avaient été ravagées par ceux-ci, et les épis de blé, d’orge et autres, en abondance a cette période de l’année.
Il y avait des cadavres parmi eux, qui pourrissaient au soleil et que les autres rats avaient boulotés en partie, d’autres étaient malade et ce laissaient mourir.
Très vite, ils n’eurent plus rien à mangés car leur nombre grossissait de plus en plus, alors ils se déplacèrent dans toutes les directions, en passant par les champs les tunnels, les routes, les chariots des exilés de la guerre.




Alors ils poussèrent leur cri de guerre. C'était un cri quasiment inhumain, ou aucun mot n'était présent, on ne percevait que la haine et la soif de sang.

"-Allons massacrés ces enfoirés !!!!" hurla Manzana, une des capitaines de Brakmar.
"-MORT A BONTAAAA. "

Et ils chargèrent, Manzana en première ligne. Elle avait le cœur qui battait plus fort et le pouls qui s’emballait sous l’excitation de la bataille, elle avait des bouffées de chaleur et des frissons, mais ce n’était pas à cause de la peur. Après tout, elle faisait sa pour une cause juste, pour la survie de la population de Brakmar, pourquoi aurait-elle peur ? Ce n’était pas sa première bataille, et elle avait gagné le droit de commander une compagnie de plus de 200 hommes, qu’elle avait choisit elle-même.

Les soldats des premières lignes virent les défenseurs lever les arcs et tirer, lancer des sorts de ronces, pour les ralentir, piéger le terrain. Alors sa devaient commencer comme sa ? Après tout, il est célèbre que Bonta ne soit pas fait pour le combat de plaine. Manzana esquiva avec habilité trois-quatre flèche, pour se remettre à courir.

Ils se firent cribler, mais ce fut les invocations qui trinquèrent les premières, des craqueleurs pour la pluparts, donc les flèches ne leurs firent pas grand-chose, de plus, ils servaient de bouclier pour ceux derrières. Peut de guerrier furent toucher, et souvent, ce n’était pas grave, une flèche dans l’épaule ou la cuisse, détourner par l’armure de cuir. Elle ne s’arrêtera pas pour si peut, et, c’est avec une rage décuplée qu’elle accéléra.

Les cras et les xelors de ses troupes prirent la main, et la, ce fût un vrai massacre sur les murs du poste avancé. Les flèches de tous genre, couplés aux perturbations temporelles firent l’effet d’un boulet de ces canons, que Bonta possèdent justement en poste avancé, ironie du sort, ils n’en avaient pas à cette endroit, qui était encore trop jeune. Les défenseurs était expulsé du mur, pour tomber 30 mètres plus bas, et s’écraser sur les rochers, dans un bruit d’os broyer, ou bruler vif dans des gerbes de flammes. L’odeur, mêlé aux hurlements des victimes emplissait Manzana de sentiments qu’elle connaissait pour les avoir découvert, il y a 5 ans de sa.

Viens ensuite les ronces, de gigantesque ronces sortirent du sol, devant les brakmariens, essayant de les frappés, faisait comme un bruit de fouet quand elle claquait dans l’air, et Manzana en évita une. Le malheureux derrière lui n’eut pas cette chance et c’est dans un cri d’épouvante et de douleur qu’il fut envoyé en l’air, avant de retomber, 20 mètres derrières sur ses congénères. La encore, ils n’y eu que très peu de blesser car les xelors et les feca avaient lancé des sorts de flammes, des contres et des protections, qui eurent vite raison de ces défenses, permettant aux assaillants d’avancer toujours plus.

Elle était maintenant assez proche pour voir les visages des défenseurs, ils étaient morts de peur, ils étaient désespérer. En voyant sa, Manzana jubila.

Alors, ils atteignirent les premiers pièges, et la, ce fut le carnage, de nombreuses invocations furent détruites et des brakamriens les suivirent, les survivants virent leurs compagnons tomber autour d’eux comme des moskitos. Les explosions et la fumée la rendait sourde et aveugle, mais elle continuait, toujours tout droit.

Mais ce n’était pas grave car, maintenant, elle avait atteint le mur, et ils commencèrent à lancés des grappins, et montés des échelles, tout autour d’elle, sous la pluie de rekop, de sacrifiées, et d’invocations en tout genre.

Le village était calme, la brise qui venait de la mer légère, un vol de Poolay passa au dessus des 3 compagnons pour rejoindre l’arbre, après avoir pêché. Le soleil commençait à taper fort et l’odeur de la mer les acceuillat.

Adalrik chassa du pied un crustorail qui commençait à l’énerver, à force le suivre.

« -Rha mais dégage sale bête !
-Adal, va pas énerve cette pauvre bête.
-Mais il me suit depuis qu’on est sortis de cette jungle. Mais retourne chez ta mère toi !
-Regarder, un navire là-bas, on va pouvoir prendre la mer. » dit Crylia en commençant à courir vers le port.
« -Hey attend-nous ! »

Arriver sur place, ils trouvèrent le fière navire, avec son capitaine sur le quai. C’était un enutrof avec un tricorne, il commandait l’action de ses marins, tout autour de lui, coordonnant les chargements des tonneaux et le déchargement de caisses en tout genre, certainement des provisions pour le village.

« -Bon, on n’a pas un kama en poche, et c’est un capitaine enutrof, tu peux me dire comment tu compte nous faire embarquer ?
-Laisser moi faire. »

Elle défit légèrement son corsait, laissant apparaitre une partie non négligente de sa poitrine.

" -Huum hum euh teuh.
-Je ne cautionne pas ce genre d’acte.
-Laisser moi faire et admirer le charme féminin en action..."

Elle s’approcha du capitaine, et commença a lui faire du charme, en se penchant vers lui et en lui faisant de l’œil. Tous les marins autour d’elle c’était arrêter de travailler, la fixant d’un œil lubrique.
« -Je ne savais pas qu’elle avait des arguments aussi convaincant…
-Il est clair qu’elle à un très beau talent. »

Elle revint vers eux, resserrant son haut, sur son visage, une expression de victoire.
« -Alors ?
-Alors on a trois places pour Sufokia, le navire part dans quelques minutes.
-Je pense qu’il est inutile de te demander comment tu compte le payer ? » dit Arkenge, suspicieux.
« -Vaut mieux éviter, en effet. Bon vous venez ? »

Alors ils se dirigèrent vers le navire. C’était un quatre mats, un de ces navires qui partent en mers pour des mois, récoltant les informations, les ressources aux quatre coins du monde.
Il était énorme, il avait pas moins de 3 étages de canon, sans compter le pont supérieur, avec ses canons énormes a la proue et a la poupe, permettant au navire d’engager le combat, même si il avançait ou fuyait.
Ses innombrables voiles étaient repliées mais les marins commençaient à monter pour les déployer et profiter du vent pour prendre le large. En plus des voiles, ils y avaient entre les canons des écoutilles pour les rames, permettant au navire d’avancer même quand le vent était absent.

« -Hola bande de moules, alors c’est vous qui voulez rejoindre la terre ferme ? » dit le capitaine en fixant un à un les aventuriers.
« - En effet, savez-vous combien de temps va prendre le voyage ? » demanda Arkenge, inquiet.
« -Bof, si les dieux sont avec nous, qu’il n’y a pas de pirates et un bon vent comme celui-là, 2 jours.
-A ouais, les dieux… » murmura Arkenge…

« -Allez bande de lopette, on embarque et on met les voiles, rentrer les cartahus, oublier pas le rhum, et que sa saute !! »

Alors le bâtiment se mit en branle, commençant à quitter le port, sous les aux revoir des habitants.

«- En avant toute ! Choquer et larguer les amars, souquer fermes et étarquer les cordages pour tendre les voiles !!»

Grâce a la marée, et a l’action de son capitaine, le navire prit rapidement de la vitesse en quittant le port, et il se retrouva en pleine mer.

« Ta compris ce qu’il a dit ? » Demanda Adalrik à Arkenge
« -Pas le moins du monde…
Mais on s’éloigne de cette Ile, et je ne suis pas près d’y remettre les pieds.»

Si il savait…



« -Aie !!
Maman, un rat ma mordu !
-Un rat dans le chariot ?
-Non, il a sauté.
-Ouf, tant mieux, fais voir cette vilaine morsure ?
- Il n’a rien ?
-Non, il saigne un peu, ce n’est pas grave. Tu la mis ou l’alcool chéri ?
-Dans la malle, juste la.
-Aller viens, on va soigner tout sa. »

Les grappins étaient lancées tout autour d’elle.

« Couvrer les eniripsas !! » hurla manzana en les voyant se faire faucher par dizaines.

Les sacrieurs et les iops montaient en escaladant le mur. C’étaient les plus touchés, tombant comme des pierres, mais se relevaient toujours grâce aux soins administrés par les enis au pied du mur.
Les autres utilisaient des échelles et des cordes, que les défenseurs tentaient de repoussés ou couper tant bien que mal.
Manzana était sur une corde quand elle vit un iop la coupé. Elle sauta vivement pour atterrir quelque mètre plus bas alors que ceux qui n’avaient pas eu le temps de sauter s’écrasèrent sur les rocher.
Le sol commença a rougi du sang des brakmariens.

Alors Manzana interpella quelques sram.

"-VOUS, avec moi, on va les prendre par surprise. » hurla-t-elle dans le vacarme de la bataille."

Elle mit une de ses dagues dans la bouche et rangea l’autre et commença à grimper avec d’autres srams, sous l’invisibilité.
Grâce à ce camouflage, ils atteignirent le haut du mur les premier.

Alors Manzana sauta, et tourna sur elle-même, du haut vers le bas, les yeux fermés, entre 3 bontariens, toutes dagues dehors.
Elle égorgea un sacrieur, qui tomba sans même comprendre ce qui lui arrivait, elle ouvrit le ventre d’un ecaflip qu’elle poussa du coude et qui eut à peine le temps de l’apercevoir avant de tomber du mur, et pour finir, entailla les jambes d’un sadida qui tomba a genoux, et l’acheva en plantant une de ses dagues dans sa tête, dans un craquement sinistre.

Avec les autres srams, elle entreprit de faire un percer dans les défenses pour permettre a d’autre de monter sur le mur.
Mais ils n’étaient que des srams, et une fois la surprise passer, les défenseurs, reprirent vite le dessus, les fecas créèrent des boucliers, et les sacrieurs commencèrent à les mettre en difficultés.

Alors Manzana se sentit plus lente, elle tourna la tête et vit un xelor qui l’envoutait.
Une ronce l’attrapa et l’envoya voler par-dessus le mur dans un hurlement.

« -Je me demandait quand tu atteindrait le mur, Pazis!
-Moi aussi je suis content de te voir vivante Manzana.
-Dos à dos, comme à l’entrainement ! J’espère que tu as de nombreuses dagues…
-C’est partis !!!
-Aller venez bande de fils de … »
Le reste se perdit dans la masse quand ils se firent chargés par un ecaflip, un enutrof, un pandawa et un osamoda.




« -Les échelles, ils grimpent par les échelles !!
-Attention aux grappins, attention aux graaaaaa….
-Non, ne tuées pas les invocations tuées les osamodas !
-Groupe d’éniripsas sur la gauche, tués-les avant qu’ils n’agissent.
-Xelors, en avant, ralentissez-les iops qui montent.
-CRA, armés et tirés, FEU !
-RONCES, AAAAAH.
-Rester en groupes, ne briser pas les formations, ne les laissés pas avancer sur le mur.
-REPOUSSER LES, REPOUSSER LES !
-Besoin de renforts à l’extrémité est !
-Alerte, groupes de srams au centre, ils ont ouverts une brèche dans la défense.
-Ressaisissez-vous, renvoyer les en enfers ! »




Au poste de commandement bontarien, parmi les trois généraux :
«- Sa va mal, ont est pas assez nombreux.
- Il faut les repousser ! Pourquoi les pièges n’ont pas marchés dans le col ?
-Il semblerait qu’une partie de leur armée soit passé sur les hauteurs, et tué tout les préposés aux pièges…
-Bon résumé de la situation ?
-On est sur le point d’être dans la merde…
-ALERTE, ILS ONT ENVAHIS LE MUR !! RECULER, RECULER !!
-…maintenant on est en plein dedans…
-Ordonnez la retraite !
-Je ne crois pas non », dit Manzana alors que Pazis défonça la porte.
« Echec et mat ! »



Pendant ce temps sur le mur :

« Aller approcher !! Vous vous chier dessus ?
-Pazis le raffiné… Tu connais toujours la limite à ne pas franchir toi. »
Sur ces mots, les bontariens les chargèrent.

Alors Pazis et Manzana entamèrent une danse mortelle :
Ils se prirent par le bras et ne se lâchèrent plus durant tout l’enchainent qu’ils exécutèrent
Elle envoya une dague qu’un sram évita, alors que Pazis fit tournoyer son bâton pour en assommer un autre. Pazis la fit passer par-dessus son épaule pour qu’elle frappe un ecaflip que le chargeait. Pazis roula sous manzana pendant qu’elle sautait pour égorger un feca, et de la lame de son bâton éventra un enutrof. Ils tournèrent ensemble, se tenant par le bras, pendant que Pazis faisait tourner son bâton au dessus de leurs tète et que Manzana envoya deux autres dagues, qui rencontrèrent chacun un œil dans la masse d’ennemis. Pazis envoya manzana en l’air, elle envoya trois autres dagues, qui se plantèrent dans des cranes, tandis qu’il s’allongea sur le sol pour éviter deux épées qui tranchèrent chacune l’allié en face, s’écroulant l’un sur l’autre. Pazis se releva avec la force de ses genoux et accueillit Manzana sur ses épaules, il la fit passer entre ses jambes et elle planta deux autres bontariens, dans les partie génital, et Pazis les acheva d’un coup tournoyant.

Tout autour d’eux, ce n’était plus que mer de sang et de cadavres, les bontariens reculèrent.
Toujours plus de brakmarien montèrent sur le mur
« -Viens, on va au poste de commandement, ces trouillards de généraux bontariens ne se battent jamais avec leurs troupes dans ce genre de batailles. »




Ils sortirent du poste de commandement, tenant à bout de bras les têtes des généraux.
Les brakmariens les accueillirent dans un hurlement de joie.
« -Qu’est ce qu’on fait des survivants Manzana ?
-PAS DE SURVIVANTS, JETER LES DU HAUT DE LEUR MUR ! »